U.S.M.G.P. .........un fanion, une passion, une population !

 LES  VILLES


 



Altitude : 468 mètres
Population : 2630 habitants
Habitants : les Montréjeaulais
Cours d’eau : la Garonne, la Neste, le Lavet, le Pécoup
Origine du nom : du latin « Mons Regalis de Ripparia», le mont du Roi.
























Montréjeau d’hier à aujourd’hui

Historique : Au début du XIIIème siècle, le territoire est vierge de tout habitat et prolonge les landes du plateau de Lannemezan. La bastide de Montréjeau (Montréal de Rivière) fut fondée en 1272 à la suite d'un traité de paréage entre Eustache de Beaumarchais, sénéchal du Roi de France Philippe III le Hardi, et le seigneur terrien Arnaud d'Espagne-Montespan, Vicomte de Couserans qui possédait des friches à cet emplacement.
La fondation de Montréjeau arrangeait les deux parties, la royauté, par ce biais, pouvait resserrer son étau sur le Comté de Comminges qui ne lui appartenait pas encore et lui permettait l'implantation de son autorité au cour des récentes possessions de la maison des Foix-Béarn en Nebouzan. Le seigneur de Montespan, avec Montréjeau, trouvait enfin un point central au milieu de ses domaines. Ainsi, il assurait la liaison entre son château de Montespan et ses terres du Louron.
Une charte de coutumes est concédée aux habitants dès l'origine. Elle est suivie d'une deuxième, confirmée au XVème siècle par Charles VII puis Charles VIII, et comptant pas poins de 228 articles qui définissent dans le moindre détail le fonctionnement et la réglementation de la ville au peuplement rapide.
La bastide fut prise d'assaut pendant la guerre de cent ans en 1438 par le Bâtard de Bourbon, puis par les routiers de Villandrado.
Au XVIIIème siècle, cet ancien chef-lieu de jugerie de pays de Rivière devient une
subdélégation sous l'autorité du Roi, des Montespan, puis de M. de Lassus-Nestier. Les Pelleport s'illustrent à la Révolution et les Républicains écrasent leurs adversaires au lieu dit Côte-Rouge sur la route de Cuguron, le 20 août 1799.
Le commerce, les foires et les marchés constituent l'activité principale jusqu'aux années 1950, avec quelques manufactures de lainage de tricots, en particulier de bas. Les deux ports sur la Garonne connaissent pendant un temps un trafic important. Le marbre de Sarrancolin venu de la Neste transite par ces points, ainsi que de longs radeaux de « merrains », bois destiné à la futaille du Bordelais.

Montréjeau : l’hiver, l’été

Montréjeau est voisine des plus belles stations de ski de la chaîne des Pyrénées: Nistos : station de Cap-Nesté, Superbagnères, Les Agudes, Le Mourtis, Saint-Lary,
La Mongie...
A voir à Montréjeau le château de Valmirande, une des merveilles du siècle dernier et le musée du Soldat de France: rétrospective de l’Armée Française de la Révolution à nos jours. Mais la richesse touristique des proches environs la place également au 1 er rang des stations estivales. Il ne faut pas man- quer Saint-Bertrand-de- Comminges, les grottes de Gargas, la route des cols et celle des lacs, le Val d’Aran espagnol, Luchon, une des premières stations françaises du thermalisme et la maison des Sources à Mauléon-Barousse.
Les vertus d’un climat particulièrement sain méritent enfin d’être soulignées: absence de brouillards, automnes ensoleillés, pureté de l’air, excès de chaleur toujours atténués...

Promenade en ville

Les arcades de la place et le tracé perpendiculaire des rues trahis- sent l’ancienne bastide, créée en 1272. Le commerce avec ses 110 vitrines, vocation première de la bastide, y est toujours extrêmement actif et attire une clientèle venue de tous les environs.
L’église Saint-Jean des Xille et xve siècles, est remarquable pour sa magnifique voûte en carène de vaisseau, ses orgues, son large clocher octogonal des XVIIe et XVIIie siècles. Vues panoramiques du boulevard de Lassus, du jardin de la Salle, de la place de Verdun (halle neuve).
Salle des fêtes.
Le centre de loisirs
Plan d’eau et golf 9 trous avec practice et club-house
(Tél. 05 61 95 20 20); planche à voile, pédalos, pêche, aire de pique-nique, jeux d’enfants, boules, environnement boisé. Egalement : tennis, équitation et randonnée, piscine avec patau- geoire, aéro-club et vol à voile à 4 km, pêche à la truite (très nombreux torrents).

Soyez les bienvenus

Séjours à votre guise: hôtels, campings, meublés saison- niers, maisons de retraite très agréables.
La tradition gastronomique, ici solidement ancrée dans les moeurs, réserve mille délicieuses découvertes.
Industriels, chefs d’entreprises: entièrement viabilisée, reliée au futur axe autoroutier, la zone industrielle de Baraillan propose divers emplacements. Se renseigner Mairie de Montréjeau - Tél. 0561958417 - Fax: 05 61 953739
Centre communal d’action sociale: 05 61 95 97 38 Salle des fêtes, location pour réunions, réceptions Tél. 0561958417

Montréjeau, porte d’Espagne

Montréjeau se situe au pied des montagnes, à mi-distance de l’Océan et de la Méditerranée, au confluent de la Neste et de la Garonne.
Dans un site superbe, véritable belvédère face aux sommets enneigés, la ville domine le cours encore tumultueux de la Garonne, célèbre fleuve gascon et fille aînée des Pyrénées. Cette vallée, axe de pénétration important, a fait de Montréjeau une porte d’Espagne, par le Val d’Aran et le tunnel de Viella.



























  
























Gourdan-Polignan, fait partie du département de la Haute Garonne qui a pour préfecture la ville de Toulouse. Située dans le sud ouest de la France à une altitude de 434 mètres cette commune s’étend sur une superficie de plus de 526 hectares, avec 1557 habitants.

Histoire

Déjà occupé lors de la préhistoire (présence humaine avérée dans le site de la grotte de l’éléphant sur le versant ouest de la colline du Bouchet), le site de Gourdan-Polignan connut une occupation Romaine avec les domaines de "Gordius" et de "Polignus".On peut imaginer que le domaine de "Gordius" se trouvait au lieu dit le "Bazert" où fut trouvée une représentation du Dieu à tête de sanglier "baezert" célèbre dans le panthéon Gallo-Romain et où sont signalés des vestiges de villa vers l’actuel rond-point de l’échangeur de la nouvelle autoroute contre la colline du bois d’Huos. Une hypothèse plus hasardeuse me fait situer le domaine de "polinus" vers l’actuelle place de la prairie, en effet cette éminence proche de la Garonne permettait de contrôler le passage, et en ce lieu on peut encore voir une belle tour ronde du XIeme siècle attestant de l’ancienneté de l’occupation de l’endroit, par ailleurs le chemin qui relie le lycée technique à la gare se nomma longtemps "le chemin de ronde". Un remarquable château renaissance fut édifié en 1520 par Hespagnolet de Mauléon au pied du Bouchet, toujours remarquée la chapelle des Cordeliers admirablement conservée abrite une vierge noire qui fut l’objet d’une vénération au cours des siècles passés. Les bâtiments du petit séminaire récemment détruits pour faire un parking témoignaient du prestigieux passé de Polignan qui fut le lieu d’étude de nombreuses élites du XIXème et XXème siècle (Ferdinand Foch entre autres).


Généralités historiques

- Existence d’un château fort au 12ème, ruiné au 16ème et reconstruit depuis.
Vestiges préhistoriques et antiques
- Grotte dite "de l’Eléphant" (MH), fouillée au 19ème par Piette, occupée du
magdalénien à l’âge du Bronze : nombreux objets d’os ou de bois de renne gravés.

Architecture civile

- Château* du Bouchet : enceinte carrée et donjon 12ème.
- Château de Boucoulan.
- Manoir 15ème.
- Ancien couvent des cordeliers à Polignan (Ecole des métiers).
- Pont sur la Garonne (IMH).

Architecture sacrée

- Eglise Saint-Vincent* de Polignan, ancienne chapelle des cordeliers, gothique :
- portail 1613 avec porte* Renaissance de bois sculpté ; voûtes d’ogives
avec clés armoriées, retable** historié Renaissance, Vierge Noire

13ème/14ème.

- Eglise de Gourdan 19ème.
- Chapelle de Polignan : retable du maître-autel* 16ème, vantaux sculptés de la porte latérale 16ème.

Sites

- Brèche dite du Picon* (MH).
- Bois de Gourdan.
- Rives de la Garonne* : confluent de la Neste.

Ressources et productions

- Exploitation forestière.
- Polyculture.
- Ovins, bovins.
- Distillerie de liqueur.

Vie locale

Foire : 3ème sam. janv., fév., mars, déc. Fête : 22/1, 8/9. Sentiers pédestres .Chasse, pêche














   


















Située au coeur des Pyrénées, au pied des plus hauts sommets de cette chaîne authentique, LUCHON (630m) bénéficie d'une situation géographique remarquable et d'une concentration exceptionnelle de sommets de plus de 3000 mètres.

Cet environnement exceptionnel favorise la pratique de tous sports de glisse et d'aventure qui sont le miel des Activités de Montagne. Connue tout d’abord pour ses thermes et son climat, Luchon est aussi devenue une ville de tourisme en été comme en hiver. Depuis 1993 avec une télécabine qui relie en huit minutes, le coeur de la ville à la station de Superbagnères, Luchon est au coeur de la saison hivernale ! Tous, petits et grands, trouveront leur bonheur dans la palette d'activités proposées: Sports, remise en forme, découvertes de sites historiques, animations ,festivités culturelles et gastronomies.

De plus, Luchon a su rythmer harmonieusement ses saisons par de grands rendez-vous festifs, sportifs ou culturels.

Luchon, ville jardin, témoigne d'une histoire riche et généreuse.
Plus de 40% de la surface de la ville est constituée de parcs boisés et son urbanisme conserve de nombreux témoignages du second empire, époque où elle fut profondément transformée.

Plus récemment, et chaque année au mois de février, la ville accueille le Festival du Film de Télévision.

La ville est facilement accessible par la route (A64, sortie à Saint Gaudens), elle est desservie par deux aéroports, Toulouse Blagnac à 140 kilomètres et Tarbes – Ossun – Lourdes à 100 km. Une ligne SNCF directe relie la Gare de
Luchon à la Gare d’Austerlitz, à Paris.